Gruh.
Ce texte veut réhabiliter l’idée du féminisme, qui souffre d’une image bien négative, ici en France. Le féminisme c’est l’égalité des hommes et des femmes dans les faits, dans les lois, dans les actes. C’est aussi une lutte contre des idées préconçues, des stéréotypes attachés aux sexes. Ça fait du bien de le lire, […]
… (Dans les commentaires ça parle du fait qu’un des deux pâtés contenait du cochon… mais vous avez conscience de ce que vous écrivez o_o on ne sait rien de l’affaire, et tout de suite vous partez sur une islamophobie ordinaire. Fatigue.)
Quand on dit que les hommes à qui les femmes ne répondent pas dans la rue sont dangereux… (ne pas lire les commentaires ne pas lire les commentaires ne pas lire les commentaires)
Voilà voilà, un exemple très parlant de pay-to-win. Ça fait bien peur.
Soylent, c’est le futur, si tu penses que le futur t’en veut personnellement. Soylent, c’est un produit « révolutionnaire » qui contient tous les nutriments nécessaires pour vivre. Ben moi si je ne me nourris que de ça, je ne vis pas. Blerg. (hop, je place ici une pub éhontée pour mon blog de cuisine)
Il y a donc des médecins gynécologues qui demandent à leurs patient⋅e⋅s d’acheter en pharmacie un spéculum avant la visite. C’est normal ? Réponse courte : non. Pour tout un tas de raisons : ce n’est pas éthique, le/la médecin a une obligation de moyens, un spéculum n’est pas forcément nécessaire… la liste est […]
[…] the company didn’t develop a better film for rendering different gradations of brown until economic pressure came from a very different source: Kodak’s professional accounts. Two of their biggest clients were chocolate confectioners, who were dissatisfied with the film’s ability to render the difference between chocolates of different darknesses. “Also,” Connor says, “furniture […]
Encore une histoire de gosse épouvantable (10 ans, hein, c’est pas un bébé) et de parent complètement irresponsable. Ça me sidère que des gens comme ça existent vraiment.
« Elle est bonne », c’est la sentence qui tombe sur les réseaux sociaux quand une oratrice monte sur scène en conférence. Pas massivement, pas systématiquement, mais ça arrive, régulièrement, parce que comme beaucoup d’autres, notre milieu professionnel accepte qu’on sorte de telles beauferies sexistes en public l’air de rien.
Le mari de Zoë Saldana prend son nom de famille à elle, et voilà, yen a qui chouignent qu’il se comporte comme une femme, qu’il devrait porter des leggings et changer de sexe. Parce que, m’voyez, prendre le nom de son conjoint c’est un signe de faiblesse (donc c’est féminin). Hum. *fatigue*